Bjorn Ulfstensen
ft. Travis Fimmel
Prénom Bjorn
nom Uflstensen
âge 38 ans
naissance 17 août 1983
genre Homme
parent divin Tyr; dieux de la guerre, de la victoire et de la stratégie
panthéon Nordique
coeur Homme ou femme, venez me voir, je ne suis pas difficile. Mais ne compter pas sur moi pour des sentiments amoureux, je ne donnerais pas mon coeur facilement.
fonction à Kvalir Lieutenant dans la guarde
défaut fatal La
colère m'aveugle et me laisse vulnérable au combat, je ne pense plus stratégique ni même fait attention au geste de mon adversaire. Une fois hors de moi, c'est dur de m'arrêter et les objets vont voler d'un côté et de l'autre.
premier pouvoir Télumkinésie; capacité à contrôler et manipuler les armes. Les demi-dieux ayant cette capacité peuvent faire apparaître leur arme de prédilection, ou même maudire une arme.
second pouvoir PERSUASION : Capacité à implanter une idée, une pensée ou une croyance dans l'esprit de quelqu'un d'autre. Dépend énormément de l’état psychique de la victime.
une petite question
COMMENT VIS-TU CE DÉMÉNAGEMENT À KVALIR ? Écoute, ce changement, ce déménagement n’est pas le problème. C’est de s’entremêler avec les autres camps, qui est le problème. J’veux pas faire mon rabat-joie, mais… Est-ce vraiment une bonne idée d’amener tous les demi-dieux au même endroit ? Après, c’est de voir comment tout le monde va s’adapter. Pour ma part, si personne ne me marche sur les pieds, tout va bien se passer.
votre histoire
Né un soir d’été, ma mère m’eut sans problème. Même pas 15 minutes et up je suis sortie. Du moins, c’était comme ça que ma mère me le racontait. Mais mon beau-père lui, c’était plutôt une histoire d’horreur. Du sang partout, le cordon, etc. Le pauvre, il m’avait dit qu’il s'était évanoui. Ce qui me faisait rire chaque fois qu'il me racontait l’histoire lorsqu’il prenait un verre de trop. (Moh, ne vous en fait pas, mon beau-père était un gros nounours lorsqu’il buvait.) Mais bon, pour en revenir à ma naissance, je suis né dans la ville d’Oslo, en Norvège. Là, j’y avais habité jusqu’à mes huit ans.
Cet anniversaire était un désastre total, ma mère devait me dévoiler un truc, un secret disait-elle. Un secret qui coule dans mes veines. Ma pauvre mère tournait autour du pot en essayant d'enrober de sucres ce que j’étais en réalité. Un demi-dieu, fils de Tyr, dieu de la guerre, de la victoire et de la stratégie. En plus de me dévoiler mon sang céleste, elle me dit que dorénavant, je devrais rejoindre les autres comme moi dans un camp tout près de la Suède… Si je n’étais pas tombé sur le cul, j’étais resté bouche bée. Donc, en gros, je devais quitter mon nid familial pour aller, je ne savais où.
Alors, terminé mes sorties en bateaux avec mon beau-père. Ainsi que mes journées tranquilles à jouer avec mes amis dans les mares d’eaux et la boue. Bonjour l'entraînement sans fin et la vie de camp ! Je dois dire qu’au début, je n’étais pas heureux, hein. Mais au fil des années, j’appris plus sur mon père biologique et mes origines. Je commençais à mieux apprécier les combats et les entraînements ardus que nous subissions ici. Bientôt, j'atteignis l’âge où mes pouvoirs commençaient à se manifester. Je découvrais vite la télumkinésie, l’art de contrôler, de manifester ou de maudire des armes. Mon deuxième pouvoir, c’est manifester alors que j’essayais de persuader un entraîneur de nous laisser sortir du camp, des amis et moi. Bien sûr, pendant un instant, ça avait fonctionné. Nous avions réussi à atteindre l’entrée avant que l'entraîneur en question vienne nous rattraper avant qu’on sorte. Suite à cet événement, les gens du camp me gardaient à l'œil.
Sinon, en grandissant, je devenais de plus en plus meilleur au combat. Tellement bon que j'accumulais les victoires facilement. Jusqu’au jour où mon adversaire me mit en bourrique. Ma colère m’aveuglait tellement que je ne prenais plus en compte les gestes de l’autre personne en avant de moi. Je perdis donc mon combat… Encore plus en colère, je me jetais sur le pauvre garçon et le cognai avec mes points jusqu’à ce que quelqu’un réussisse à m’enlever. Je criais, je donnais des coups de pieds, j’étais hystérique. C’était le jour où j'ai appris mon défaut fatal… Ma colère, refoulée depuis mes huit ans, était tellement grande. Ce défaut m'empêchait d’utiliser mon pouvoir de persuasion. En gros, comment pourrais-je persuader si je suis en colère ?
Bon, avançant un peu plus loin dans le temps. Le jour où nous étions prêts à quitter le camp, soit 15 ans après mon arrivée, j'avais décidé de rester pour entraîner les plus jeunes. Les autres membres n'étaient pas convaincus que c’était une bonne idée considérant mon côté froid et colérique. Mais les dieux ont dû trouver ça intéressant puisque je n’avais pas eu de mal à être approuvé. Donc, à ce jour, je devenais le pire cauchemar des plus jeune. À plusieurs reprises, je me suis fait réprimander d’être trop dur, trop froid, pas par les dieux, mais par mes collègues. Je leur avais fermé le clapet en leur disant que s’ils ne sont pas capables de passer outre ma froideur et ma dureté, que faisaient-ils ici ? Après tout, nous les préparions pour se battre !
À mes 24 ans, je me suis vue avec de nouvelles victimes. Parmi ces victimes, un p’tit gremlin en particulier avait retenu mon attention. Cette petite pleurait rarement, elle était arrogante et était indifférente à mes commandes. En gros, elle me tenait tête. Je dois dire que pendant son séjour chez nous, j’ai dû la réprimander au moins tous les jours. Mais malgré tout, c’était la seule qui n’avait pas peur de moi… Même en colère. Plus tard, elle partit et je ne l’ai plus jamais revu, c’était dommage. C’était probablement la seule que j’avais vraiment considérée comme une personne proche. Malheureusement toute “bonne” chose à une fin. Après ce phénomène (le gremlin) le camp était bien trop calme à mon goût.
Finalement, le jour où nous avons dû apporter tout le monde à Kvalir avec l’aide des valkiries, arriva. Avec les autres entraîneurs et animateurs, nous faisions sûr que tout se passait bien. En plus de ce déménagement, on m’avait demandé d’aller chercher le gremlin puisqu’elle n’écoutait pas les valkiries. Dans un soupir, je demandais pourquoi ne pas envoyer ses demi-frères, on m'expliqua ensuite que moi, elle m'écoutait. Ensuite, j'la ramène avec moi et je continuais tout simplement de m'installer. En essayant de ne pas trop me mêler aux autres.