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@uriah caldwell & marlene -- 10 avril 2021 ; milieu d'après-midi  

Tu as passé la matinée à la forge ce matin-là, rassurée par l’odeur du fer incandescent et qui se forge pour devenir autre chose, rassurée par la chaleur omniprésente, t’installant dans un coin pour superviser la création des objets que tu as toi-même inventés, les idées couchées sur le papier deviennent alors réalité.  C’est plaisant, ça stimule la fille d’Héphaïstos en toi et s’il y a bien un endroit où tu te sens le plus à la maison, c’est bien entre les murs de cette forge où les principaux résidents sont en réalité tes frères et sœurs. Mais peine en es-tu sortie que la cruauté de ce déménagement pèse à nouveau sur ton cœur. Tu aurais aimé que rien ne change, que tout recommence chaque matin dans cette éternelle habitude qui guidait des pas chaque jour dans les allées de la colonie. Les cheveux roux relevés en un chignon mal fait jure à la perfection avec l’orangé de ton t-shirt : celui de la colonie, celui qui te représente. Et tu as besoin de retrouver un semblant de normalité loin des pensées agitées et du cœur troublé en cette après-midi. Tu as besoin de te défouler. L’air est frais, trop frais pour quelqu’un qui aime autant la chaleur que toi et l’armure enfilée pour te protéger dans cette arène aux airs familiers. Déjà, tu te sens presque comme à Long Island, de l’autre côté de l’Atlantique. Déjà, le regard accroche les différents demi-dieux présents dans l’arène. Le poignard en bronze roule entre tes doigts avec une facilité déconcertante alors que les iris cherchent celui qui sera ton prochain adversaire. C’est un de tes confrères grecs qui retient ton attention et le combat débute. Les mouvements sont précis et la prudence qui éveille dans tes yeux une étincelle particulière te fait réfléchir suffisamment pour ne pas être celle qui attaquera en premier. En face de toi, le fils d’Arès est le digne fils de son père, sa lance en main et se lance le premier. Il te faut une agilité particulière pour éviter tant de puissance et d’endurance, toi, l’érudite femme de feu, qui ne se sert que d’un simple poignard pour blesser ennemis et monstres depuis des années. Les minutes roulent autant que vos pas vous empêchent de prendre le dessus sur l’autre et c’est dans un geste bref et concret que cette fois-ci, la prudence se délaisse pour la domination de la situation, remerciant stratégie et sournoiserie quand l’autre favorise la force brute. Le poignard pointé sous la gorge du guerrier, tes lèvres se courbent dans un bref sourire orgueilleux alors que tu songes avoir fait honneur à ton père, bien consciente des querelles opposant guerre et feu. Il y a des félicitations fébriles qui traversent les lèvres de ton adversaire et toi dont l’accent texan ne te quitte jamais qui souffle un : « Bien défendu. » bref et brusque. C'est agréable de se retrouver ainsi quand les autres panthéons ne lui attirent aucune sympathie et d’oublier un instant ce sentiment d'inadaptation aux autres. Tu le regardes s’éloigner, le souffle court encore de votre combat, le poignard dans la bouche quand tu te permets de redresser tes cheveux dans une queue de cheval plus tenace que ce vieux chignon qui s’était brisé en une cascade de roux dans ton dos. Tu n’es pas du genre à provoquer, Marlene, loin de là et pourtant, déjà, tes cérulées nuageuses cherchent celui qui sera ton prochain adversaire. Tu ne l’aperçois pas de suite et pourtant, il est là, à éclipser le soleil d’Ecosse. Fier, éblouissant, digne fils de la personnification du Soleil. Quand il s’approche, certainement que tes lippes se brisent dans un réel sourire cette fois-ci, enflammé autant que le cœur qui se soulage et s’apaise dans un rythme empli de chaleur pour cet ami qui éclaire les jours les plus sombres de sa présence. Il porte son prénom à merveille ; Uriah. « Intéressé pour te brûler les ailes ? » Demandes-tu avec un sourire malicieux quand de quelques pas, tu combles à ton tour les quelques mètres qui vous séparent encore. Peu importe qui de lui ou de toi se brûlera les ailes en premier, tu sais que quand vous êtes ensembles, si l’un tombe, l’autre tombe aussi. Et là, si l'entraînement vous oppose, peu importe car in a fight, they’re lethal. But around each other, they melt.
(c) mars.
Uriah Caldwell
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@marlene bates  & uriah -- 10 avril 2021 ; milieu d'après-midi  

Sur tes doigts courent des étincelles et c'est ton cœur qui sourit lorsque tu entends Aden rire aux éclats. Du haut de ses six ans, il t'impressionne et t'inspire par sa candeur et spontanéité. L'enfant était doté d'une capacité d'adaptation que beaucoup d'autres demi-dieux du camp n'avaient pas et trouvait toujours de nouvelles façons de se réjouir depuis leur arrivée en Ecosse. De quoi relativiser un minimum sur toutes les fois où tu râles – intérieurement ou par la simple expression de tes regards jusqu'à tes soupires – du manque de soleil, celui de tes repères de Long Island. Ta routine habituelle te manque mais tu te sais chanceux d'avoir déménagé à Kvalir avec le reste du camp. Vous étiez tous ménagés à la même mesure et Aden t'inspirait sans même le savoir la force de tirer du positif à cette situation. Ta main balaie ses cheveux ébènes et tu as cette pensée tendre pour sa mère disparue. Sienna vous manquait tellement à toi, Nils et sans doute Aden mais tu la décelais chez l'enfant et quelques fois, cela suffisait à panser ton cœur. Tandis que tu te relèves, l'enfant attrape une peluche sphinx trouvée on-ne-sait-où et un sourire discret se dessine sur tes lèvres. Tu le laissais alors à son père non sans avoir discuté avec lui de votre agacement mutuel du confinement que vous supportiez tous au domaine et jure en riant que si Nils finit par revêtir un kilt, jamais tu ne joueras de la cornemuse. Les mains dans les poches, tu sors jusqu'aux extérieurs vêtu d'un simple t-shirt afin de recevoir au mieux les rayons de l'helios. Le visage tourné vers lui, t'en profites amplement parce que tu sais depuis que vous êtes à Kvalir combien la météo peut être capricieuse. Seulement faire taire tes gestes amplifie la voix de tes pensées et tu te revois ce matin-même à observer la silhouette endormie d'Elias au lit adjacent. Ta frustration revient effacer toute trace de sourire sur ton visage, elle est même à l'origine des efforts que tu emploies avec cette pause offerte face à l'astre solaire lorsque tu te positionnes au stand de tir à l'arc.

Protège bras et palette en cuir à tes doigts, tu t'entraines une bonne heure, voir plus. Parce que tu oublies tout lorsque tu tires, tu oublies tout et tu penses à ton père. T'as l'impression de ressentir sa fierté à travers cet art là quelques fois, lors des quêtes, lors de tes plus belles réussites. Et évidemment, cela te fait penser à ta mère, à ta vie d'avant, les J,O, et tout ce que ton statut d'archer représentait à l'époque. C'est à ce moment précis que tu finis par baisser la visée de ta flèche, tu en avais fini pour aujourd'hui. Et il était frustrant de remarquer combien ces temps-ci, bon nombres de choses avaient cette capacité de faner, perdre de leur éclat pour toi l'enfant lumière. Non pas car tu n'appréciais plus le tir à l'arc, non pas car tu n'appréciais plus Elias, mais bien parce que quelque chose clochait. Et t'as les sourcils froncés, l'esprit à nouveau perturbé jusqu'à ce qu'en rangeant ton carquois, c'est sur une chevelure de feu reconnaissable entre mille que tes iris sont attirées.

Elle est belle Marlene, lorsqu'elle combat, lorsqu'elle le bat à plates coutures, lorsqu'elle lui sourit. Et tes pas s'approchent d'elle sans même que tu ne t'en sois rendu compte, pas vrai ? C'est elle qui t'apaise à ce moment précis et c'était comme si tout ton être le reconnaissait et en redemandait déjà. Alors t'oublies d'enlever tes protections, t'as les mains dans les poches et le regard vissé sur elle en t'approchant de ton pas détendu. Tes yeux descendent sur son t-shirt orange familier, son poignard. « toujours avec toi. » tu le sais, n'est-ce pas ? Et tu t'avances mais ne dégaine rien, regardant avec un sourire légèrement moqueur le demi-dieu vaincu quitter ses côtés. « tu crois qu'il va assumer ou aller innonder les thermes ? » Te positionnant face à elle, tu lui fais un signe de tête en direction de son poignard et relèves tes mains pour les lui montrer. « j'ai pas mon arc, ni d'épée, mais si tu veux te mesurer à moi avec ça, on peut tenter. » autant dire que tu ne préférerais pas mais ça, tu te prives bien de lui dire. Les genoux légèrement fléchis, tu lui fais signe de ta main d'approcher et commences alors à tourner en cercle en l'appréhendant de ton regard concentré. Ce n'était pas la première fois que vous vous entrainiez l'un contre l'autre et encore une fois, tu remarquais combien son seul regard réussissait à te déstabiliser. Le combat commence et si vous évitez les coups de l'un et de l'autre, c'est au bout d'une longue minute que tu repères enfin une seule brèche et réussis à la contourner d'un mouvement agile afin de l'enfermer entre tes bras sans lui laisser le choix, les siens bloqués entre son dos et toi. Tu resserres ta prise même en étant certain qu'elle ne se laissera pas faire longtemps. « c'est plutôt cool comme ça. » oses-tu d'un air amusé alors que tu se sens déjà brûler si près d'elle.

(c) mars.
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@uriah caldwell & marlene -- 10 avril 2021 ; milieu d'après-midi  

La vision du fils d’Arès est aussitôt remplacée par une vision bien plus agréable. Personnification même du Soleil, tu aurais presque pu trouver l’astre réel bien trop fade comparé à lui. Uriah semble encore plus rayonnant sous les éclats de l’astre solaire, comme si tout son être s’éveillait de cette ascendance divine. Et quand tu le vois s’approcher, toi lui demandant s’il est prêt à se brûler les ailes et lui, t’indiquant que c’est toujours le cas quand vous êtes ensembles, tu ne peux t’empêcher d’étirer un sourire. Le genre de sourire que tu n’as toujours eu que pour lui, l’éveil d’un cœur attiré comme un papillon de nuit par sa lumière éternelle. «  Bien sûr qu’il va aller inonder les termes, ça plutôt qu’assumer avoir perdu face à moi. » Uriah se place face à toi et les yeux détaillent les mains qui se lèvent, remontent sur ses bras dissimulés sous les protections, décrivant alors les muscles entraînés par des années d’expérience avant qu’un sourire orgueilleux, digne d’une demi-divinité, se dessine sur tes lèvres. Cela t’est plus facile que d’ignorer ce que le Soleil éveille en toi, quelque chose de chaud et apaisant et qui te rappelle avec assurance la chaleur rougeoyante d’un feu brûlant. « Avec ça ? Ne me sous-estime pas, fils d’Apollon. Je ne me laisserais pas éblouir. » Tu sais qu’il ne te sous-estime jamais. Uriah a toujours eu la clairvoyance de ne pas te considérer comme l’ingénue mécanicienne à l’aide devant tant de choses mais devant les autres. Considérée pour ton entièreté, aussi bien pour l’évidence et que pour les subtilités, il te connaît par coeur. Il n’est pas le seul d’ailleurs, car dans leur unification, le Soleil et la Lune trouvent en toi l’écho des plus beaux instants. Sauf que le Soleil est éblouissant et tu n’es pas certaine d'être capable d’y résister. Vous vous tournez autour, comme on vous l’a tant appris lors de vos sessions d’entrainement à la colonie et ton sourire est figé dans une concentration évidente. Contrairement au fils d’Arès, Uriah sait pour avoir appris lui aussi l’art de la guerre, que la première action est déterminante. Une longue minute s’écoule et le coeur crie à la raison d’oublier prudence et d’être la première à prendre avantage de la situation. Tu ne peux pas rêver mieux, toi qui te comble toujours de votre proximité. Seulement profite-t-il de cette opportunité et t’emprisonne d’un mouvement agile dans une étreinte efficace. Tes bras croisés dans ton dos, la situation aurait pu te frustrer si elle n'éveillait pas  en réalité une flamme familière ; signe annonciateur du feu ébloui par l’hélianthe. Alors, ta respiration se coupe quelques secondes et les azurés s’ancrent dans les iris d’Uriah. « Ca l’est toujours avec toi. » Souffles-tu dans une tendresse particulière alors que tu sembles à première vue te détendre dans cette étreinte qui n’avait en réalité rien d’une maîtrise combative. Mais ta prudence n’a d’égale que ta persévérance et avec adresse, digne de ce qu’on t’a autrefois appris, tu profites que de cette proximité pour retourner la situation à ton avantage. Tu es la sournoise femme de feu qui brûle à son contact mais qui refuse de laisser ça contrôler pensées et actions. Pas encore, pas maintenant. Pas dans une telle situation. Alors, la jambe passe derrière la sienne et dans un mouvement vif, pivote pour le faire basculer sous la surprise - à défaut de pouvoir le faire dû à une force supérieure. L’un de tes bras libérés glisse dans son dos pour accompagner sa chute alors que l’autre attrape le poignard en bronze avec facilité. L’arme pointée sur lui, tes lippes se brisent en un sourire satisfait et commentent alors : « Non, c’est décidément bien mieux comme ça. » Parce que de là où tu es, tu peux jauger de toute ta hauteur comment ses cérulées se sont éclairés de surprise avant de s’amuser de la situation. Tu peux détailler d’un simple regard comme la clavicule prédomine sur sa peau quand Uriah s’appuie sur le sol pour se redresser. Et quand il attrape ta main pour t’entrainer avec lui, la fin du combat loin d’être terminé, tu ne peux que mémoriser le grain de sa peau contre la tienne et détailler comment son sourire fait écho aux légendes de son père. L’histoire du Soleil qui ne s’éteint jamais, dans une symphonie perpétuelle. « C’est autorisé dans les règles du combat au corps à corps ça ? » Ris-tu en roulant à ses côtés. Pour un combat avec lui, en réalité, tu l’autoriserais tous les jours tant que la flamme de votre amitié ne s’éteigne jamais.  
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@marlene bates  & uriah -- 10 avril 2021 ; milieu d'après-midi  

Elle est redoutable Marlene et tu le sais depuis de longues années maintenant. Au combat comme en application les mains caressant avec adresse le fer des machines, son sourire éclatant est celui qui touche le plus ton cœur telle une flèche envoyée à la perfection sur sa cible. Et il te faut l'espace de quelques infinies secondes pour te rappeler les conditions de ta présence actuelle à ses côtés, le rôle que tu jouais – celui du meilleur ami tout comme celui de son adversaire. Il te fallait te remettre sur pied avant qu'elle ne t'envoie côtoyer terre et poussière, ne pas un instant la sous-estimer parce que ton égo est également en jeu fils d'Apollon. Elle a beau être la demi-déesse à qui tu tenais le plus en ce monde, tu ne comptais lui offrir l'aisance d'un combat gagné trop facilement. Et puis, elle t'en aurait voulu, n'est-ce pas ? Votre combat amical débute et tu sondes sa silhouette et ses déplacements à la même hauteur qu'elle le fait avec toi, sans l'ombre d'un sourire sur les lèvres par ta concentration, tu ne recherches pas l'aube du sien afin de ne laisser place à la moindre déconcentration, préférant jeter quelques coups d'œil à l'attention de son regard, la façon dont ses jambes se positionnaient. Tu le savais, elle attaquerait en premier et tu n'attendais que cela, le corps qui vibre et le cœur qui gronde d'impatience que l'action commence enfin. La main soutenant son poignard est celle dont tu te méfies le plus, tu la sais si habile avec et si d'ordinaire tu en tires une fierté, tu es aux aguets. La voici qui tente enfin son premier mouvement et d'une chose amenant une autre, c'est tout contre toi qu'elle est immobilisée. De mouvements agiles et équilibrés, tu la coinces entre tes bras, les siens dans son dos, ton corps contre tout contre elle. Alors enfin tu t'autorises un sourire Uriah, en sa seule direction car après tout elle résumait à elle seule la majorité de ta joie quotidienne. Elle est belle Marlene, si belle avec cet air qu'elle te lance, la beauté de ses azures tournées vers toi et t'as l'impression d'y lire ce ciel vers lequel tu aimais tant tourner ton regard et attention, ton myocarde qui n'est jamais mieux que dans ces instants. Et son aveu tendre termine de t'emmener dans ces contrées plus douces que tu t'étais interdit en refusant de t'accrocher à son sourire, il te confirme encore une fois combien tu tiens à elle. Même lorsqu'elle finit par te faire basculer dans un agile mouvement de pivot qui t'impressionnes et enfin, t'amuses. T'as le fessier à terre et ce n'est ni la première fois, ni certainement la dernière fois mais là, t'as un rire spontané qui dépasse tes lèvres. Il est naturel et heureux, un peu oublié ces derniers temps depuis que vous n'étiez plus à Long Island. « Damn gurl. » t'exclames-tu malgré toi en riant toujours, accrochant ton regard au sien, pas le moins du monde peureux de l'effet de sa dague si près de toi, tu te redresses sur tes bras dans une position assise et plisses légèrement les yeux par l'intensité du soleil du jour en la contemplant de toute sa hauteur au dessus de toi. Par Zeus, qu'est-ce qu'elle était belle. La chevelure rousse légèrement balayée par la brise, la fierté au regard, même ce trait de terre et poussière au coin de sa joue ne pouvait que la sublimer. Le tableau t'en fait soulever le torse d'une longue inspiration qui t'intime à te taire Uriah mais ô combien ta vérité peut se lire par le dévouement en lecture à tes iris brunes. Alors ta main se tend et tu sais qu'elle va la saisir, à l'image de votre amitié éternelle, ce lien qui vous unissait depuis tant d'années déjà, elle est là sa faiblesse mais aussi la tienne. Venir au secours de l'autre quand bien même le combat n'est pas terminé, tu profites de cette notion pour l'amener à toi en l'attirant au sol, l'une de tes mains glissant sur sa taille afin d'amortir sa chute. « tout est autorisé, tu ne le savais pas ? » tout, comme profiter de sa présence plus que mesure, faire tomber le temps de quelques secondes ton regard envieux sur ses lèvres avant de te reprendre en te redressant au dessus d'elle, un genou sur les siens, l'autre à terre. Encore une fois, tu ne peux que la contempler en observant sa chevelure éparpillée tout autour de son visage et c'est des flammes vivantes qui jaillissent en toi. Comme à chaque fois que tu passais un aussi bon moment avec elle, tu te tais pourtant à leur propos Uriah mais les ressens, les reconnais sans peine et finalement, les accepte plus que tu ne l'admettais. Depuis combien de temps déjà ? Tu ne le savais. Mais ce que tu comprenais c'était bien que le combat n'était toujours pas terminé. Alors tes mains décident de s'attacher à ses poignets, un bras contre son corps et l'autre un peu plus relevé vers son visage, ta fierté jaillit aussi en tant que parfait enfant du divin arrogant lorsque tu remarques qu'encore une fois tu l'as bloqué. Et tu frémis, d'effort et de ton souffle court mais aussi d'un désir qui s'éveillait à mesure que tu comprenais ta dominance sur son corps à terre et tout près – trop près – du tien. Ton regard devint quelque peu plus sombre, ton sourire s'effaça et tes yeux s'autorisèrent à la détailler, de son regard qui était capable à lui seul de te faire plier genou à la beauté des éphélides parsemant le haut de ses joues. Il y a sa silhouette aux courbes plus que divines qui se mouve sous ton attention et sa peau légèrement brillante d'effort qui t'appelle plus que tu ne peux te le permettre. Alors tu la relâches enfin, après une énième et longue inspiration faisant profondément soulever ton torse, la frustration au bout des lèvres qui s'exprime en soupire une fois debout et ta main tendue en sa direction avec assurance afin de lui proposer ton aide pour qu'elle se relève. « t'es sûre de ne pas avoir un énième pouvoir d'emmerdeuse ? J'ai la tête qui tourne. » justifies-tu en passant l'une de tes mains dans ta chevelure sans te départir de ton air voulu neutre pour calmer ce feu ardent qui peu à peu, te ravageait intérieurement. Bordel Uriah, maîtrises toi.
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@uriah caldwell & marlene -- 10 avril 2021 ; milieu d'après-midi  

Long Island semble déjà bien loin mais là dans vos rapports, tu as le sentiment de retrouver un peu de votre vie d’avant. Le Soleil et le Feu unis par la même chaleur dans chaque étape, dans chaque instant et si la Lune a décru dans le ciel, à votre grand désespoir tu le sais, ce n’est que pour mieux vous faire brûler tous les deux. Et si tu as réussi à reprendre l’avantage dans ce combat au corps à corps, là où normalement Uriah aurait dû te dominer sans aucun problème, quand il te tend la main, tout est invitation à la saisir. Aussi bien votre promesse éternelle d’être là l’un pour l’autre que ce cœur qui bat trop vite, trop fort pour lui. LEs doigts s’enroulent aux siens et tu n’es aucunement surprise quand le demi-dieu t’attire à lui, n’ignorant pas le frisson te parcourant l’échine quand ses doigts glissent sur ta taille pour amortir la chute. Bien sûr que tout est autorisé, songes-tu en roulant des yeux mais le sourire qui éclaire tes lippes ne trompe personne et certainement pas lui. Tu ne peux t’empêcher de songer au sous-entendu qui glisse et qui tapisse tes pensées d’envies qui devaient rester inavouables. D’autant plus quand d’un mouvement habile, les positions s’échangent et qu’Uriah te domine alors. Le sourire se fige au même titre que la respiration se fait plus fébrile. Vos deux corps sont près, trop près et comme un objet au contact de l’astre solaire, tu brûles d’une intensité ardente à son contact. Le feu s’éveille et la compétitrice vacille pour laisser place à la femme éveillée par la proximité de son meilleur ami. Tu ne sais pas depuis quand et peut-être que tu ne le sauras décidément jamais. Mais dans un monde parfait, il était là : toujours, pour toujours. Pour lui, tu mettrais le monde à feu, pour lui, tu mettrais le monde en bouteille pour qu’il ne soit jamais seul. Il attrape de ses mains tes deux poignets et l’intensité que tu ressens s’amplifie dans une profondeur enivrante. Il n’y a pas de mots qui traversent tes lèvres, seulement une volonté de te laisser faire car si l’orgueilleuse aurait refusé de perdre un combat, au fond de toi, tu as l’impression d’avoir tout gagné. Car dans cet instant suspendu, il n’y a plus rien qui compte. Seulement vous deux : lui et toi. Le Soleil et le Feu. Et quand il s’éloigne alors qu’il n’est pourtant qu’à quelques centimètres, tu as le sentiment désagréable que tout ton être se voit vidé de son énergie. Il semble pourtant regagner un souffle correct, moins débauché mais tu as l’impression que le néant habite ton cœur. Comme si ta proximité avec le fils d'Apollon t’avait fait sentir plus complète que jamais. « c’est pas un pouvoir, c’est ma personnalité ça.  » ris-tu alors que tu attrapes sa main pour te relever à ton tour. tu lui décoches un sourire et baisses discrètement les yeux vers le poignard qui traine encore au sol et l’idée se dessine précisément dans ton esprit. « à ton avis, pourquoi je fais grâce aux autres de ma présence ? pour justement éviter de leur faire tourner la tête.  » Tu ne sais pas à quel point tu as raison Marlene quand tu parles de faire tourner la tête aux autres, tu ne doutes pas qu’Uriah puisse partager ce même sentiment que tu éprouves pour lui alors qu’entre vous, tout n’aurait dû rester que platonique. Pourtant, vous en êtes là, à vous dévorer du regard et à chercher le contact chaque seconde, chaque minute, chaque jour. Pour l’éternité. « Ta vitakinésie ne fonctionne pas sur toi-même ? Je m’en voudrais que tu sombres à cause de moi.» T’en voudrais-tu réellement si un jour Uriah osait sombrer avec toi, pour toi, à cause de toi ? Tu l’ignores réellement, égoiste incendiaire d’âmes lumineuses. Et tes doigts qui glissent sur sa joue te font penser que non, finalement, tant qu’il était avec toi, vous pouviez bien sombré ensemble. Le Néant serait toujours plus beau éclairé par sa lumière. « T’avais quelque chose sur la joue… » Justifies-tu dans un souffle qu’il peut sentir. La tendresse justifie tes gestes mais l’ingénieuse n’a pas abandonné la partie car alors qu’il s’y attend le moins, un mouvement agile de ton pied fait décoller le poignard du sol. Pas un regard pour l’arme blanche qui tourne dans les airs et la main libre, celle qui n’est pas apposée sur la peau douce d’Uriah, attrape dans un instinct presque provocateur le poignard. Tu déposes la lame contre son menton et te dresses sur la pointe des pieds. Cette fois-ci, tu sais que le souffle s’entremêle au sien et ton coeur ne peut s’empêcher de rater un battement. Les yeux glissent quelques secondes sur ses lèvres tentatrices avant de s’ancrer à nouveau dans les prunelles chocolatées d’Uriah. A la fois fébrile que puissant, à la fois tendre qu’intense. « Ne te laisse par distraire Uri. Le combat n’est pas fini. » Pourtant, tu le voudrais que cette distraction soit suffisante pour que vous ayez l’impression encore d’être éternels tant que vous êtes ensembles  
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@marlene bates  & uriah -- 10 avril 2021 ; milieu d'après-midi  

Il t'est difficile de te séparer d'elle Uriah, oh combien l'est-il. Toi l'enfant soleil qui n'avait besoin que d'un peu de chaleur pour te sentir plus vivant que jamais, toi le meilleur ami qui avait ces battements plus forts en sa présence. Sans qu'elles ne soient imagées, ses flammes brûlaient ton être entier et l'embrasait à le mesure d'un feu ardent désiré et qui jamais ne se consumerait. Tu l'avais bien découvert il y a des années, cette sentence dont aucune clémence ne t'avait été offerte depuis, adorateur de la flamme vivante qu'elle était, amoureux de ses sourires et de son être tout entier. Mais comment l'assumer entièrement sans que la crainte de tout gâcher n'intervienne ? A toi qui ne serait rien sans elle, toi dont l'éclat ne serait plus que fade si jamais un jour elle venait à quitter tes côtés dont tu lui avais réservé une place éternelle. Si tu décides de te séparer d'elle sans vous soumettre à tes pulsions, tu ne le fais pas sans regrets. Tu n'étais guère habitué à te priver Uriah, tout ce que tu désirais, tu le prenais généralement et ce parfois sans même te faire prier. Enfant élevé prince et dont les sourires pour toi n'ont d'égal aux rayons propagés par le simple nom de ton divin de père, tu n'avais jamais été habitué à te priver autant de temps de quelque chose qui pourtant avait le don d'hanter tes pensées. Peut-être parce qu'au fond de toi, une seule chose t'étais sûr : elle avait bien plus de valeur que n'importe quoi, plus de valeur que toi-même. Et si tu la traites d'emmerdeuse, ce n'est qu'une façon de ne pas lui avouer par mégarde combien tu la veux Uriah alors qu'elle te répond du tac au tac quand toi t'es encore sous l'influence de la brûlure qu'elle venait de laisser sur ta peau. Ses paroles te déconcentrent, toi qui en oubliais presque la raison de vos derniers échanges plus ou moins houleux et tu ne peux t'empêcher de lui rétorquer d'un fier sourire en coin « c'est donc ça la vérité, je suis l'heureux élu à qui tu as décidé de faire tourner la tête.. » et tu sais comment ta phrase sonne mais par Zeus, c'était déjà difficile de ne pas répondre aux pulsions du corps, ton cœur pouvait bien parfois avoir sa part. Tu la dévores du regard malgré toi et vous vous regardez un peu trop longtemps de cette intensité qui n'a rien d'amicale, d'un ton plus bas tu lui confies « je suis prêt à sombrer avec toi autant de fois que tu le souhaiteras Mar' » aujourd'hui comme dans votre éternité de demain, tu sais que la perche était parfaite pour te défendre, mettre en avant la fierté de ton don mais à quoi bon lorsque la vérité s'exprimait et restait la meilleure des réponses. La plus réelle, la plus intense certes mais tu l'oublies relativement vite lorsque ses doigts glissent sur ton visage et que tu ne souris plus Uriah, happé par la profondeur de ses yeux bleus tu t'oublies et te tais même après sa parade. C'est uniquement lorsqu'elle reprend le dessus sur votre combat que tu reviens sur terre toi qui avait un peu trop volé près des cieux. Icare et sa tragédie jamais loin de tes pensées, tu tentes de te ressaisir mais sa main est toujours sur ta joue quand l'autre te menace de cette lame glissant contre ton menton. Sur tes lippes, un sourire fier et arrogant dont le regard s'attarde un instant sur l'arme avant de remonter sur la beauté face à toi. Marlene se redresse sur la pointe des pieds et instinctivement, il y a tes mains qui rapprochent son corps tout près du tien, accrochant ses hanches avec possessivité afin de l'amener un peu plus près de toi et ses mots qui flirtent à ton attention alors que tu as toujours cette lame contre ton menton. Si tu n'en as pas la moindre peur par toute la confiance que tu possèdes en elle, la demi-déesse réveille en toi des flammes incontrôlables par l'ingéniosité, la franchise de combat et ces flammes dansantes dans son regard en s'ancrant aux tiennes. Tes phalanges se pressent à son corps, il y a ses lèvres qui ne sont pas loin des tiennes, bien trop proches pour que tu ne puisses les ignorer longtemps. « Tu joues à un jeu dangereux Marlene.. » lui souffles-tu d'un ton de plus en plus bas alors que ton nez s'invite contre le sien en le taquinant d'une caresse. Eveillé par tous tes sens par la dangerosité qu'elle faisait preuve avec ce couteau tout contre toi, comme une énième barrière qui n'en était finalement pas une pour toi Uriah, à travers ce mouvement de l'arrête de ton nez contre la sienne, tu en profites afin de frôler ses lèvres des tiennes. Et ton souffle est retenu, parce que toute ton attention est dédiée à ce moment tandis que d'une caresse subtile te voici frôlant sa lèvre supérieure puis inférieure des tiennes durant de longues secondes d'un supplice certain pour tout ton corps qui se tend au même moment par la retenue de ton désir de la faire tienne. Tu dépassais les limites que vous vous étiez fixé, la limite de cette amitié à laquelle vous teniez tant et il y a ton palpitant qui résonne en toi si fort mais pas autant que l'urgence de ton désir. Par votre si grande amitié, vous pourriez vous embrasser maintes fois sans que cela ne vous impacte ou n'ait de signification mais lorsque tes sentiments étaient là, en jeu, tout prenait une dimension supérieure. La profondeur de ton regard pour elle et ses lèvres s'éteint au moment de fermer tes yeux au monde pour ne profiter que du votre, la lame toujours sous le menton, tu t'avances finalement un peu plus Uriah et l'une de tes mains glisse derrière sa nuque au moment de l'embrasser. Alors tes lèvres caressent les siennes avec une passion loin d'être contenue, sans la moindre timidité parce que ce moment, tu l'as désiré depuis tant d'années que tu as l'impression de l'avoir attendu toute ta vie. Et son corps contre le tien, tu la possèdes Uriah, enfin, le temps d'un long baiser échangé qui n'avait rien d'amical, tu as envie de l'enlacer plus longtemps et qu'elle enroule ses jambes autour de toi. Tu as envie de glisser l'une de tes mains dans sa longue chevelure flamboyante au moment où tu glisserais ta langue contre la sienne et viendrais lui couper le souffle. Tu as envie de l'aimer plus fort encore, qu'elle soit tienne et que tu sois à elle. Mais le baiser que vous échangez finit par s'arrêter d'un souffle épuisé par sa course et si l'espace de quelques secondes ton regard demeure troublé mais si conquis, tu ne mets guère de temps avant de reprendre contenance, tes esprits et la raison que tu t'imposais. « Qui s'est laissée distraire cette fois-ci ? » De cette main qui s'était détachée de ses hanches à la fin de ton baiser afin de s'attacher à la sienne, il y a son arme entre tes doigts désormais, cette dague qui t'avait menacé seulement quelques secondes plus tôt et que tu plantais dans le sol d'un geste agile. Marlene est toujours dans tes bras et tu n'as pas envie de t'en détacher cette fois mais quelques gouttes de pluie menacent votre moment au moment d'en ressentir les prémices. Le ciel s'est assombri, ton visage se relève et tes sourcils se froncent, brr, qu'est-ce que tu détestais ce temps. Et déjà, tu te sens moins bien Uriah, le teint un peu plus terne, tu finis par accaparer à nouveau son regard en lui soufflant « je dois rentrer. » elle le sait évidemment, elle te connait par cœur mais tu n'as pas envie d'y aller, de gâcher ce moment, de l'expliquer non plus à vrai dire. Ton regard s'attarde sur ses lèvres que tu as envie de te réapproprier une nouvelle fois sans que le jeu et votre duel ne puisse te couvrir mais tu t'en empêches Uriah, malheureusement. Tu n'arrivais toujours pas à réaliser que tu venais de l'embrasser.
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