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they all say things you want to hear (Dani)

Dani Castillo
voice of the gods

Dani Castillo
infos
moyenne de mots/rp : 500 à 1000
présence : présente
pronom irl : elle
fc & crédits : sofia carson ; hemera (ava, ban & mb) ; bat'phanie (code sig)
missives : 117
pecunias : 2454
fiche de présentation : Juste ici
fiche de liens : Juste là
they all say things you want to hear (Dani) PmJL6vg
défaut fatal : (L'ambition) faire ses preuves, gravir les échelons et obtenir du pouvoir. Elle veut aller loin, quitte à en mourir.
arme : (l'arc) demi-soeur de Cupidon, elle a adopté l'arme avec une facilité et une discipline déconcertante // (glaive) l'arme romaine qu'elle manie avec efficacité et force
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Eh, Vous !
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Daniela Castillo

ft. Sofia Carson
Prénom Daniela, que tu ne supportes pour rien au monde. Dani, c'est le seul nom que tu acceptes et tu crèverais les yeux de quiconque enfreint la règle.

nom Castillo, fier rappel des origines colombiennes héritées de ton père. Rappel éternel du manque qui coule dans tes veines et fait battre ton cœur.

âge Tu croirais presque que tu sors à peine de l'adolescence, mais non. Tes vingt-huit ans t'ont cruellement rattrapés.

naissance Tu vois le jour le huit janvier 1993 à Orlando, en Floride. A peine les yeux posés sur la forme humaine de ta mère qu'elle te laisse dans les bras de ton père, trop jeune, trop romantique pour savoir t'élever comme il le faudrait.

genre Si tu te désignes femme aujourd'hui, cela n'a pas toujours été une évidence. Les questions ont chamboulé ton adolescence et tu sais que certaines sont encore là.

parent divin Fille de Venus, certains disent que tu le portes sur toi. Parce que tu es belle et féminine, parce que la cruauté coule de tes lèvres et de ton toucher. Parce que tu représentes toute la fascination et la haine que les gens ont pour l'amour. Dans le miroir pourtant, tu vois ton père bien plus que la prétendue beauté de ta mère.

panthéon Romain. Les ressemblances entre Venus et Aphrodite ne changent rien. Les lettres sont claires sur ton avant-bras, le symbole aussi.  

coeur Tu n'y as jamais accordé d'importance. Difficile de faire confiance quand les moindres pensées, les moindres émotions sont à ta portée. Peut-être qu'un jour tu oseras, mais pour l'heure, tu préfères garder et préserver ton coeur.

fonction à Kvalir Plus qu'un choix, c'est une évidence qui s'est imposée à toi le jour où tu es arrivée. Tu savais que tu devais reprendre les armes, comme tu l'as appris au Camp Jupiter. Membre de la patrouille extérieure, par besoin d'éloignement du château et parce que tu es une alarme à toi toute seule, tu ne te verrai rien faire d'autre.

défaut fatal L’ambition – Tu as beau ne pas en avoir besoin et savoir que tu ne pourras pas en avoir beaucoup plus, tu as ce besoin de prouver ta valeur par l’obtention de pouvoir. Après tes années de service, ton défaut s’était atténué, mais reprendre les armes n’a fait que le réveiller, plus dangereux que jamais.

Lecture des émotions Lorsque tu le découvres, c'est plus une torture qu'une lecture. Envahie par les émotions de ceux qui t'entouraient, tu ne pouvais rien faire de plus que te prostrer dans un coin et attendre qu'ils disparaissent. C'est l'entraînement et la pratique qui te permettent d'apprendre à te fermer aux autres - et peut-être que c'est ça qui te transforme en armoire à glace. On te qualifie d'insensible parfois, mais tu as besoin de ça pour ne pas pleurer au moindre cœur brisé qui se balade. Et c'est la pratique qui te permets justement de pouvoir ressentir les émotions sans t'effondrer, seulement au bon moment, seulement pour la bonne cause. Il en faut beaucoup pour te faire tomber - même sentir la peur et la mort ne te font plus chanceler. C'est le grand nombre mélangé à la force des émotions qui te coupent le souffle, t'envahissent à tel point que, parfois, tu ne sais plus différencier ce qui vient de toi et ce qui vient des autres. Loin d'être un pouvoir passif, tu as appris à l'utiliser pour repérer la moindre intrusion, les moindres faiblesses qu'elles soient physiques ou mentales. Entre ton glaive et ta langue acérée, tu sais frapper là où ça fait mal et tu sais profiter des dégâts. On te qualifie d'insensible et pourtant, tu es toujours la première à comprendre et à partager le moindre bonheur, la moindre peine. C'est juste que tu ne l'as jamais savoir - et tu ne le fera peut-être jamais.


Télépathie Parce que ressentir les émotions des autres n'était pas suffisant, il t'as fallu hériter d'une capacité d'autant plus envahissante. Réceptrice, tu entends chacune des pensées des personnes qui t'entourent, à toute heure du jour et de la nuit. Tu n'as jamais su te fermer à eux, comme tu le fais avec les émotions, alors tu ignores. Ca fonctionne bien la majorité du temps, mais personne ne réalise à quel point ils peuvent penser fort. Tu as appris à éviter les foules, tu as appris à manger le plus loin des autres possible, à des heures séparées pour éviter les migraines auxquelles tu es accoutumée. Tu as du apprendre à devenir solitaire et à choisir les personnes qui forment ton cercle social pour éviter de devenir folle. Lorsque tu n'as pas le choix, lorsque les rassemblements obligatoires t'obligent à être proche des autres, tu sais te concentrer sur une seule personne pour oublier les autres, mais les esprits sont si volatiles que tu ne sais jamais combien de temps cela peut durer. Ta meilleure amie, ta sœur d'arme et de coeur, est devenue une ancre, la seule capable à tenir sur le long terme et sans elle, tu ne sais pas ce que tu ferais.
Véritable alarme contre toutes les intrusions, tu sais repérer la distance des individus par les murmures lointains qui se transforment en paroles distinctes, parfois en hurlements, lorsqu'ils se rapprochent de toi.

honnête - rancunière- travailleuse - méfiante - courageuse- secrète

une petite question
COMMENT VIS-TU CE DÉMÉNAGEMENT À KVALIR ? Tu es quelqu’un de méfiant depuis que tes pouvoirs se sont réveillés. Tu ne fais confiance qu’à une poignée de personnes, choisies à travers les preuves et les épreuves. L’annonce d’un déménagement sur une terre qui vous est inconnue, tu ne l’accueilles pas avec joie et délice. Tu es réticente, tu es contre, même. Persuadée que la légion pourrait affronter cette nouvelle menace de front. Mais tes années d’expérience te font aussi savoir que si les dieux sont si inquiets, alors il vous faut obéir.

Tu n’es pas encore prête à t’ouvrir aux autres demi-dieux. Parce que tu ne t’es jamais réellement ouverte à tous ceux qui t’entouraient au Camp Jupiter ou à Nouvelle Rome. Parce que tu ne sais pas faire. Mais tu es fidèle, loyale et engagée dans la protection de tes camarades, qu’ils soient des tiens ou pas. Face à une telle menace, face à cette légende, tu sais qu’il va te falloir prendre sur toi et que vous allez devoir créer une véritable communauté malgré les tensions. Mais c’est encore trop tôt pour y croire. Tu fais ton devoir, tu obéis aux ordres, tu vis ta vie, mais tu sais, et tu sens que rien de bon ne vous attend ici.

votre histoire
T’es pas là quand ton histoire commence. C’est une nuit d’été pas comme les autres, sur les plages de Miami où ton père sur scène séduit sans même le vouloir la déesse de l’amour elle-même. La chaleur, les corps qui se pressent sur le sable, les esprits enivrés par l’alcool et Venus n’a d’yeux que pour la source de l’éveil du désir et des sexualités : un musicien si jeune que sa barbe de trois jours présente encore quelques trous imberbes. Un musicien jeune et naïf, qui ne se doute pas une seconde de ce qui s’apprête à lui tomber dessus. Il tombe amoureux à l’instant où ses yeux se posent sur elle. Elle tombe enceinte après leur première nuit. Terrorisé, mais incapable de la quitter, il accepte l’enfant même sans savoir quoi en faire. Ils vivent neuf mois, au rythme des concerts de ce musicien, mais le premier cri poussé, Venus part. Bien sûr qu’elle part – pensait-il vraiment pouvoir la garder à ses côtés pour le reste de ses jours ? Dans les bras de ton père, la première chose que tu sens de la vie, c’est un cœur brisé.

Tu as deux ans, les pas encore un peu hésitants et les mots encore incompréhensibles, mais tu sais déjà attendrir les spectateurs avec des vocalises approximatives quand ton père se produit dans la rue ou dans les bars. Il te donne des maracas un soir et tu n’es pas du tout dans le rythme de ses chansons, mais ça le fait rire et tu danses librement. Ce sont les soirs que tu préfères.
TW addictions:

Tu as sept ans, ton sac de près et le samedi matin, dès que tu sais que ton père est assommé, tu t’enfuis.

Tu ne t’attends pas à te faire suivre par un monstre dans ta fuite. Tu ne t’arrêtes de courir que pour manger et boire. Et lorsqu’un soir tu tombes sur un campement, tu chancelles. Le feu de bois, la tente, le matelas gonflable et au-dessus du feu, une marmite. Il n’y a personne d’autre qu’une femme à la beauté indescriptible. Tu ne saurais dire pourquoi, mais elle n’a pas besoin de dire quoi que ce soit pour que tu t’assoies face à elle. Il y a une chaleur dans son regard, mais un sourire vide sur ses lèvres. Rien d’attendrissant et pourtant… « Dani… » Ton père ne t’a jamais rien dit sur ta mère, hormis qu’elle était belle et qu’elle t’aimait. Une description générique, presque automatique, comme si c’était ce que tu voulais entendre. Mais là, à cet instant précis, tu te rends compte que c’est elle, face à toi. Et la colère que tu ressens est violente, envahissante. La haine aussi. Parce qu’elle t’a abandonnée. Parce que tu es déjà un peu trop mature pour ton âge, parce que tu détestes ce qu’elle a fait à ton père. Et comme si elle savait ce que tu ressens, son sourire s’affaisse pour laisser la place à un air désolé qui t’énerve encore plus. Vous ne parlez pas et ce n’est peut-être pas plus mal, mais tu sais qu’il te faut chérir malgré tout cet instant qui ne se produira peut-être plus. Elle te raconte ton histoire, te révèle qui tu es. Et lorsque tu t’allonges sur le matelas, tu sais qu’à ton réveil elle ne sera plus là. A sa place, il n’y a qu’un parchemin que tu n’oses ouvrir.

Ce jour-là, tu tombes sur une maison et c’est le soulagement qui te gagne. Tu ne comprends pas très bien d’ailleurs, parce que tout te paraît étrange ici. Mais Lupa t’accueilles, te prends sous son aile et tu n’as pas le temps de te préparer : l’entraînement a déjà commencé. Rude, intense, tu n’as que sept ans et pourtant tu sais qu’il forge ton destin. L’entraînement dure quelques mois. Suffisamment pour que tu aies envie de partir, pas assez longtemps pour te croire invincible. Ton sac à dos prêt, ton parchemin caché précieusement à l’intérieur, tu n’hésites pas une seconde quand elle te donne la direction dans laquelle tu dois partir. Tu ne sais pas ce qui va t’attendre sur le chemin, mais tu sais que tu n’as d’autre choix que d’y survivre. À ta ceinture, un pauvre glaive pour te défendre si jamais. Tu as appris à t’en servir, mais tes petites mains arrivent à peine à tenir la garde correctement. Alors tu comptes sur ton endurance et sur tes sens, et sur les conseils de Lupa. Tu perds la notion du temps, tu vis au rythme du soleil, tu affines tes capacités de traque et tu apprends à courir toujours plus vite parce que les monstres font trois têtes de plus que toi et tu n’as pas envie de mourir ici, au milieu de nulle part. Tu suis les directions jusqu’à trouver le camp. Et tu sais, à l’instant où tu passes les limites protectrices, que tu es chez toi.

Les praetors et l’augur t’accueillent bien vite. Si vite que tu n’as pas le temps de te perdre. C’est là que tu apprends que le parchemin de ta mère est une lettre de recommandation. Et tu ne comprends pas pourquoi. Peut-être que c’est sa manière à elle de s’excuser de la merde littérale dans laquelle tu as vécu jusque-là. Peut-être que c’est sa manière à elle de te clamer haut et fort comme sa fille. Peut-être… peut-être… Pas encore huit ans, mais déjà en colère contre ta mère et déjà, l’envie de lui tourner le dos se fait sentir. Mais c’est grâce à ses mots que tu entres dans la première cohorte, que tu es excusée des corvées et que tes jours de Probatio se passent aussi bien. Ça ne t’empêche pas de tout faire pour montrer que tu mérites ta place. Que tu es loin d’être une fille à maman. Faire tes preuves, c’est tout ce que tu veux faire. Encore plus avec cette place dans la première cohorte qui, tu l’apprends vite, demande prestige et excellence. Tu n’en as pas l’habitude, avec la vie que tu menais avec ton père. Mais tu apprends vite. Et tu te mets à la page. Et tu apprends. Constamment. Tu ne sais faire que ça. Si bien que tu en oublies le temps qui passe. Tu deviens Légionnaire bien assez vite. Tu échanges ta tablette contre un tatouage. C’est ce jour-là que tes capacités se réveillent. Mais ce n’est pas la douleur qui te rend folle. C’est la douleur de tes camarades, qui voient une année de plus se dessiner sur leurs peaux. C’est les pensées de tous ceux qui t’entourent et te font pleurer comme tu n’as jamais pleuré. Et tu as beau être chez toi, la seule chose que tu sais faire, c’est fuir.

Tu fuis la foule, tu fuis tes amis, tu fuis tes professeurs et tes entraîneurs. Tu fuis tous ceux qui font un pas dans ta direction, jusqu’à ce qu’on t’apprenne à te fermer aux autres. Et les sourires qui faisaient rayonner ton visage sont remplacés par les regards froids de concentrations. Jusqu’à ce qu’une âme charitable, ton centurion, ne te tende la main. Pas par compassion, mais dans le simple objectif de te rendre à nouveau efficace. De faire de toi un signal d’alarme, la première ligne sur le front. Tu en as conscience, tu le sais parce que tu lis toutes ses intentions, et ça ne fait que renforcer ton besoin de faire tes preuves. Alors tu bosses, comme tu as toujours bossé, à cœur perdu. Si bien que t’as douze ans, et tu arrives enfin à ne plus te laisser envahir par les émotions des autres. Et ta meilleure amie apprend à tes côtés à devenir le seul esprit sur lequel tu te concentres quand tu te noies. Et tes capacités deviennent une extension de toi-même. Tout autant que le glaive devient une extension de ton bras droit. Et les traits s’accumulent sur ton bras. Tu ne retrouves jamais ton père.

Tu le retrouveras jamais. T’as douze ans et la nouvelle te frappe d’une telle violence que pour la première fois depuis trois ans, tu n’entends que le silence dans ton esprit. La terre se dérobe sous tes pieds, le petit monde que tu t’étais construit ici, ta famille, tout s’effondre. Parce que ton père te manque depuis que tu l’as quitté, parce que tu l’as quitté par instinct de survie, mais tu as toujours cru que tu pourrais le revoir un jour. C’est pour lui que tu as appris à jouer de la lyre. Pour lui que tu continues de jouer, tous les jours, en essayant de te rappeler la flamme qui brûlait dans son regard quand vous partagiez ces moments. Mais il est mort. Et tu ne pourras plus jamais les partager avec lui. Ce soir-là tu retrouves une perle sur ton lit, maigre consolation d’une mère absente. Les bobos des autres légionnaires ne sont rien comparé à ce que tu ressens les jours qui suivent. Puis les mois. Ton deuil, tu le fais sur le terrain d’entraînement. Ta colère, tu l’exprimes glaive contre glaive, arc contre cible. Et quand on te demande pourquoi une fille de l’amour et du désir se bat autant, tu te contentes de pointer ton arme sur leur gorge. « Pourquoi les hommes font-il la guerre si ce n’est par amour ? » Ils ne te répondent jamais. Le déni, tu l’exprimes à travers ta lyre. Parce que tu veux qu’il t’entende et tu ne t’arrêteras jamais d’en jouer. Tu l’exprimes aussi à travers la guitare quand, à 14 ans, un nouveau campeur débarque. La tristesse, tu l’exprimes toutes les nuits, étouffée par ton oreiller. Ton deuil, tu le fais encore aujourd’hui parce qu’on ne se remet jamais d’une telle perte.

A seize ans, tu as presque atteint les dix années de service que la légion demande. Tu vois les nouveaux arriver chaque année, et tu t’es faite à leur peur, à leur angoisse. Tant et si bien, que même sans lire leurs émotions, tu lis leurs traits. Tu te demandes si tu ressemblais à ça quand tu es arrivée. Ta meilleure amie glousse, à tes côtés et tu as envie de vomir quand les relents d’amour viennent se glisser dans ta poitrine. Fille de l’amour et du désir, c’est ce que tu ressens avec le plus de facilité et depuis qu’elle est en couple avec son fils d’Apollon, c’est tout ce que tu entends. « Les chambres c’est fait pour ça. » Tu marmonnes en t’éloignant. C’est pas que tu détestes l’amour. C’est que tu détestes les faux semblants et les mensonges et ils sont si nombreux, que tu te demandes bien pourquoi ils continuent tous à tomber amoureux les uns après les autres. Pas l’un d’eux ne sait être honnête et s’ouvrir à l’autre. Les malentendus, les crises de jalousie, les disputes, c’est peut-être ça qui te rend imperméable à l’amour, qui t’empêche de franchir le pas. Tu les as entendues les pensées immondes des garçons qui t’ont vue devenir l’adolescente que tu es devenue. Tu les as entendues les pensées immondes et tu les as vues les images mentales de certains. Si tu n’étais pas centurion, tu es certaine qu’ils auraient osé tenter quelque chose. Et tu n’oses pas le dire, mais ça t’effraie. Il y a beaucoup de choses qui t’effraient et que tu voudrais fuir, mais tu as appris à faire avec et à ne rien révéler. C’est mieux pour tout le monde, que tu ne dises rien. Même ta meilleure amie t’as demandé de ne jamais rien lui dire à propos de son Apollon. Alors tu ne dis rien, même si ça la sauverait d’un cœur brisé. Et tu laisses les adolescents imberbes croire qu’ils ont une chance avec toi, avant de répondre à chacune de leurs pensées déplacées. Cruelle, tu es obligée de l’être pour éviter qu’il ne t’arrive quoi que ce soit.

Sauf qu’il fallait bien que ça te tombe dessus un jour. Tu ne sais pas si ton demi-frère, l’archer de pacotille, t’as visé spécifiquement, mais tu reconnais l’amour qui pointe le bout de son nez et tu ne sais pas comment réagir. La peur te serre le ventre, mais tu suis les conseils de tes amis et tu accordes ta confiance. T’as dix-sept ans, elle un an de moins et vous n’avez pas grand-chose en commun, mais elle te fait rire et ne fait que te surprendre. Et si les débuts sont positifs, la suite l’est beaucoup moins. Tu entends ses mensonges avant même qu’ils ne franchissent ses lèvres, tu sens ses regrets bien avant qu’elle n’ose dire quoi que ce soit. Et tu te promets de ne plus jamais oser. L’amour, c’est pour les autres. Pas pour la fille de l’amour. Condamnée à entendre et ressentir l’amour des autres, sans jamais être aimée à ton tour. C’est peut-être ta pénitence pour avoir abandonné ton père à son sort.

Tu quittes la légion, pas parce que tu en as envie, mais parce que tu es trop vieille à présent et parce que Nouvelle Rome t’ouvre les bras. T’as onze traits sur le bras, dix-huit ans, et l’amer regret de n’avoir jamais été élue Praetor ou Sénatrice. Mais ton rang de centurion te suivra jusqu’au bout et c’est mieux que certains, mais le besoin de faire tes preuves continue de brûler et le feu ne s’éteindra jamais. Dans tes nouveaux quartiers, tu te plonges à cœur perdu dans la musique. Tu vas au Sénat, pour conseiller les Praetors, mais surtout tu entraînes les plus jeunes, parce qu’ils en ont besoin et parce que tu ne peux pas arrêter de servir la légion. Tu n’es plus légionnaire, mais tu peux leur donner ton expérience c’est déjà mieux que rien.  Et tu tends une main à ceux qui ont les mêmes capacités que toi. Pleine de compassion celle-ci. Parce que tu sais le poids qu’elles représentent et tu sais que personne ne mérite de finir comme toi.

Quand la nouvelle du déménagement vous arrive, tu n’es pas la première à sauter sur l’occasion. Déménager tout le camp et la Nouvelle Rome pour un château sur un autre continent, tu partages tes doutes avec les autres, mais vous n’avez pas le choix. Réticente, mais prête à reprendre les armes, tu plies bagage et tu reprends les armes, sans savoir ce qu’il t’attend.


pseudo Root- age 29 ans- pronom irl Elle/she/her - comment es-tu arrivé-e sur VOTG ? on m’a vilement donné le lien en mode : tiens regarde, un fo inspiré PJ. Évidemment que je craque - autre chose ? J'suis si nulle en impro - un bonbon ? - credits Avatar : corvidae ;; icones : pando

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pouah, quelle belle fille de Vénus they all say things you want to hear (Dani) 324487647 en plus, ça fait gonfler les rangs des Romains, j'en connais qui vont être contents mdr je suis vraiment sous le charme de ta petite Dani, de ce que j'ai lu d'elle, il me tarde d'avoir la suite ! I love you
bienvenue ici & bon courage pour ta fiche :heart2:
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sofia est un excellent choix, puis fille de venus lui va comme un gant rls
et en plus, une probable future collègue siffle
bienvenue et bonne continuation pour ta fiche I love you
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omg une fille de venus!! emo :heart2:
le choix est excellent! I love you
bienvenue parmi nous et courage pour
la finition! hâte d'en lire plus! :sourcil:
Dani Castillo
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Merci beaucoup à vous trois :hug2: !

Je suis contente de voir que je suis pas la seule à trouver que Sofia est parfaite en fille de Venus they all say things you want to hear (Dani) 324487647.
Hâte de vous montrer la suite !
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Déjà, Sofia blbl après, Venus? Gosh!
Garde moi un lien collègue emo & bienvenue parmi nous :langue:
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pouah fille de vénus + ce fc ! que des bons choix !
j'ai hate de me poser pour lire ta fiche plus attentivement, bienvenue ici I love you
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TU ES VALIDE(E) !

Bienvenue à Kvalir !

Alors, comme tu as eu le temps de finir ta fiche avant que je ne puisse passer, je vais commencer par la base : BIENVENUE PAR ICI :heart2: Je ne peux qu'appuyer les autres en disant que Sofia est tout simplement parfaite en fille de Vénus, mais j'aime encore plus comme tu as choisi de développer cet aspect de son histoire, ses pouvoirs et sa relation par rapport à l'amour en général ! C'est vraiment bien pensé :whaou: Son histoire m'a brisé le coeur, pauvre petite elle en a tellement vécu, mais malgré tout elle se discipline et tout, j'adore ! Bien hâte de la voir évoluer et attention, les Dieux l'ont à l'oeil surtout avec son poste they all say things you want to hear (Dani) 1f60f
C'est un plaisir de te valider jolie romaine :runheart:


Tu es officiellement un demi-dieu en quête d'aventures !  :froufrou: Désormais, tu vas pouvoir vagabonder dans les couloirs de Kvalir, croiser d'innombrables demi-dieux et partir en quête afin de satisfaire les dieux !

suis le chemin des dieux

Tout d'abord, tu peux venir vérifier que tu es bien recensé partout en cliquant juste ici. Dès que c'est fait, tu peux évidemment te perdre par ici pour venir réclamer les deux objets au choix et les 30 pecunias qui te sont offerts avec la validation. Tu cherches désormais tes amis ou même tes némésis dans les couloirs du château ? Tu veux venir faire un tour par ici où tu retrouveras toutes les fiches de liens de nos membres. Si bien sûr, quelqu'un occupe déjà l'une de ces places dans ton coeur, tu peux venir poster un avis de recherche. Qui sait quelqu'un pourrait être très vite intéressé.  Cool Enfin, si tu souhaites partir en quête, n'hésite pas à te tourner vers les dieux. Je suis certain(e) qu'ils trouveront vite de quoi t'occuper.

En cas de questions et/ou problèmes, n'hésite pas à t'adresser à un membre du staff (promis on ne mord pas..  What a Face) ! Je te souhaite une très belle aventure pleine de feels, de quêtes et de légendes !  :heart2:

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Merci beaucoup à vous trois :hug2:.
Et merci pour cette validation si rapide :love:.
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