sun may shine ; (haneul)

Prénom Douceur infinie, rêveries d’un père qui se voulait toujours aimant, bien qu’absent. Haneul, qui signifie ciel. Parce que ton paternel a toujours aimé le regarder, ce ciel, parce qu’il a toujours aimé les nuages qui le peuplaient et les étoiles qui scintillaient.

nom Connotations étrangères dont tu ne saurais nier les racines ; tu n’en as pas la moindre envie, tu es fier de ton héritage. Im est noté en en hangeul sur l’extrait de naissance. C’est sans la moindre difficulté que tu articules la syllabe composant ton patronyme, un sourire tirant le coin de tes lippes.

âge Jeunesse toute apparente, la trentaine approche à grands pas. Vingt-huit ans dont personne ne se doute jamais ; tu as les joues encore rondes, comme celles d’un enfant. Il semblerait que tu ne t’en sépareras jamais.

naissance Détails inconnus, la mère n’ayant jamais partagé l’expérience que fut ta naissance avec ton père. Tout ce qu’il sait c’est que tu lui as été confié un certain 23 octobre 1992. Enfant hurlant à pleins poumons son désarroi d’avoir été ainsi brinquebaler des bras rassurants de sa mère à l’étreinte confuse de son père, tu t’es vite calmé. Si le tout jeune homme d’à peine vingt-trois ans ne s’était pas attendu à devenir père si rapidement, il a fait de son mieux pour être à la hauteur de ses responsabilités.

genre Tu es né homme et tu t’es toujours senti comme tel ; un fait que tu n’as jamais eu besoin de remettre en question.

parent divin  Là où Mars incarne la guerre, celle qui fait frémir, Bellone l’accompagne pour incarner ce qui vient avant et après celle-ci ; stratégie, fureur, douleur, peine … Il n’y a jamais vraiment eu de rôle bien défini pour cette mère dont tu te sens si peu proche. Son statut de divinité te glaçant bien moins le sang que son tempérament réputé furieux.

panthéon Tu as l’air si doux, si tendre que la réponse est presque surprenante. Pourtant tu ne peux le nier ; tu appartiens au panthéon romain. Comme tous les autres, tu as rejoins la Légion.

coeur Tendresse éternelle, douceur dont tu ne saurais te défaire. Coeur d’artichaud, tu t’entiches facilement, mais jamais tu ne tombes réellement amoureux. Coeur à prendre, peut-être, mais pas tant que ça. Tu sais te satisfaire de ta propre compagnie, ne te laissant aller à la compagnie d’autrui que de manière bien occasionnelle. Tu n’es pas désespéré par ton célibat, ni ne rêves-tu naïvement du grand Amour (celui avec un A majuscule) ; tu serais bien content de trouver une moitié, sans pour autant ressentir la moindre rancoeur vis-à-vis de cette pseudo solitude. Homme ou femme, tu n’en as que faire ; bisexualité assumée, que tu ne caches plus depuis des années déjà.

fonction à Kvalir Choix de carrière surprenant pour le demi-dieu que tu es ; aide-soignant. Désir d’aider ton prochain, d’apaiser les douleurs et les peines. Tu fuis ainsi l’intense réputation de ta génitrice, tes épaules se courbant sous le poids de son image. Fils de divinité guerrière, fils indigne de Bellone. Tu sais ce qui se dit sur toi, tu n’es ni sourd, ni idiot. Pour ne pas la (les) décevoir totalement, tu es aussi réserviste ; si tu as décidé que ta vie ne tournerait pas totalement autour des combats présents et futurs, tu ne peux non plus nier tes talents dans ce domaine. Tu as donc décidé de les mettre à disposition d’autrui si cela s’avère un jour nécessaire.

défaut fatal Tu as toujours eu un trop gros coeur. Enfant ayant la larme facile, tu es resté un adulte doté d’une hyper-sensibilité terrible. Tu es constamment à fleur de peau, semble-t-il, toujours la triste victime de tes émotions. Tu as la larme facile, la colère monte et consumme tout en toi, comme tes joies ne sont que des explosions chaleureuses au fond de ta poitrine.

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