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r.i.p 2 my youth ; (ava)

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ava morales

ft. pia kristine cruz
Prénom Ava. Maman a brisé la tradition, il n’y aura pas de Maria sur l’acte de naissance. Qu’importe ce qu’a pu en dire ton grand-père, qu’importe les larmes qu’a pu faire couler ta grand-mère. Ta mère s’est imposée silencieusement, menaçant quiconque s’opposait à sa volonté de disparaître dans le silence et la nuit.

nom Morales, un héritage dont tu sais pas bien quoi faire. C’est un nom comme un autre, un nom que l’on scande furieusement lorsque tu contraries.

âge Trente-et-un ans, la jeunesse qui s’éffrite toujours un peu plus. Le cap de la treintaine passé, t’en as pas grand-chose à foutre, pour être honnête. T’as soufflé les bougies, puis t’es vite passée à autre chose.

naissance  Y a pas vraiment quoique ce soit d’extraordinaire à dire à propos de ta naissance.  T’es née un certain 3 janvier, dans un hôpital comme il existe tant d’autres aux États-Unis, le pays dans lequel tes grand-parents avaient décidé de vivre. C’est à New-York que t’as vu le jour et que t’as grandit. T’es arrivée en hurlant à pleins poumons, signe – selon ton grand-père – que tu serais pleine de vie.

genre T’as toujours été du genre garçon manqué, t’as toujours joué avec la féminité et les limites des genres. T’as toujours joué, t’as jamais répondu aux questions.  Et si de manière générale, tu te genre au féminin, y a des fois où t’as l’impression que c’est pas tout à fait ça, y a un petit truc qui te fait tiquer. Tu gardes le féminin pour un sens pratique, mais dans le fond, c’est pas aussi simple que ça.

parent divin Le mal-aimé Hadès, celui qui garde un œil sévère sur les morts, qui règne là où personne veut règner. T’as un petit bout de rancoeur à son sujet, à petit bout de truc tout dur sur lequel tu peux pas mettre de mots.  Peut-être que c’est l’absence, peut-être que t’es juste la digne fille de ton père et que t’es juste née avec cette rancoeur. T’en sais trop rien.

panthéon Ceux qui portent trop d’importance aux apparences diront que la chose est surprenante. Toi, tu dis que tu t’en fous et fuck everything else. T’appartiens bien malgré toi au panthéon grec, un point c’est tout.

coeur Coeur brisé. Coeur réparé. T’as ramassé les tout petits morceaux de ton coeur et tu les as recollé comme t’as pu. Une fois, t’as été amoureuse ; amoureuse comme on l’écrit dans les livre, comme on l’est quand on est jeune (et qu’on connaît pas le danger). T’aurais dû savoir que ça te mènerait à rien de bon, mais t’étais si jeune. Si stupide. On t’y reprendra plus, vraissemblablement. Célibataire, y a jamais eu personne qu’a fait battre ton coeur comme ça depuis. Ça t’empêche pas d’emchainer les aventures, les relations sans lendemain. Tant que tout le monde y trouve son compte, t’es pas très regardante avec qui tu passes ces quelques instants volés.

fonction à Kvalir On dit souvent que t’es de bons conseils, Ava. Tu sais jamais trop quoi en penser, c’est juste que tu prends le temps de réfléchir avant de parler. C’est aussi simple que ça. Aussi, sans grande surprise (ou peut-être avec une bonne dose de surprise, qu’est-ce que t’en sais ?), tu t’es retrouvée conseillère. Ça aide, aussi, que t’es pas du genre à provoquer des conflicts comme ça ou que t’es pas particulièrement rancunière vis-à-vis de tes collègues.

défaut fatal Ton éternelle lassitude. Tu vis ta vie avec cette nonchalance désarmante, cette apparence je-m’en-foutiste qui en irrite plus d’un. Mais c’est vraiment de ta faute, s’il y a plus grand-chose qui t’enthousiasme ? T’en as marre de tout, t’en as marre de rien. Tu réfléchis beaucoup, tu fais pas grand-chose. Et tout se termine quand tu recraches le nuage nauséabond de ta clope dans un soupir.

umbrakinésie Là où bien d’autres sont inquiets par l’absence de lumière, toi tu y trouves du réconfort. Toi, t’y vois qu’un éventail de possibilité qui n’est limité que par les frontières de ta volonté et de tes pouvoirs. Tu manipules les ombres selon ton bon vouloir, tu leur donnes vie au gré de tes envies. Tu les étires comme un élastique, tu les rends solides pour former des armes sommaires. Ou bien tu t’en sers comme cachette lorsque tu en as marre du monde extérieur, tu te caches dans les ombres pour te faire oublier des autres. Ça ne dure jamais bien longtemps, car c’est une capacité qui est, mine de rien, coûteuse en énergie. Mais tu les aimes bien, tes petites ombres. Tu aimes bien avoir quelque chose que tu peux plier dans tous les sens et selon ta volonté du moment.


médium Un don dont tu te serais bien passée, qui a fait son apparition à l’aube de la pré-adolescence. T’as l’étrange capacité de communiquer avec les âmes défuntes, c’est aussi simple que ça. Pourtant, ça t’a bien compliqué la vie – et ça te la complique toujours un peu – quand t’as commencé à parler dans le vide, étant la seule à pouvoir apercevoir ceux qui sont passés de l’autre côté. Contrairement aux ombres, les morts, tu peux pas les manipuler. Ils peuvent continuer de te hanter aussi longtemps qu’ils en ont envie, qu’importe tes suppliques pour quelques instants de paix.

bienveillante - autoritaire- prudente - désinvolte - sincère- têtue

une petite question
COMMENT VIS-TU CE DÉMÉNAGEMENT À KVALIR ? On peut pas dire que tu vives la chose mal. T’aimais bien la Colonie, t’y as passé de bons moments. De moins bons moments aussi, mais, ça, ça fait partie de la vie, tout simplement. Quand t’as appris la nouvelle, ça t’a laissée un peu sans voix. T’as pas su trop quoi dire. Puis, sans vraiment réfléchir, t’as pris tes clics et tes clacs, puis à Kvalir t’es partie. T’as laissé ta mère à New-York, parce que toute sa vie était là-bas. T’as laissé ta mère, après lui avoir  adressé un au revoir très rapide (t’aimes pas trop faire dans le sentimental). T’es partie sans un regard par-dessus ton épaule, parce que dans le fond, t’avais besoin de changement. T’avais besoin de voir des choses différentes pour tromper l’ennui et la lassitude. L’attrait de la nouveauté a fait son effet pendant un temps. Puis tu t’es rendue compte qu’à Kvalir ou à New-York, c’était du pareil au même.

votre histoire
petit trigger warning; une relation abusive/toxique est mentionnée dans l'histoire. rien de détaillé, mais sait-on jamais.
(✽) Gamine, t’as toujours été plus bandit en cavale que princesse en détresse. T’as toujours été celle qui règlait ses comptes à grands coups de poing dans le nez, en te roulant dans la terre et en t’écorchant les genoux sur le gravier. T’avais cette colère en toi, t’avais cette envie de déchirer le monde et de le re-scotcher à ta manière. Y avait en toi cette fureur terriblle qui dévorait tout sur son passage, que t’arrivais pas à exprimer autrement. Ainsi débuta le fameux défilé des pédopsychiatres. Mais t’étais assez récalcitrante, Ava. T’étais furieuse contre le monde entier, contre toi-même et contre ce père dont on te reprochait bien trop souvent l’absence. (✽) Ta mère, elle t’a toujours aimé. Elle te l’a toujours dit. Ce qui n’était non plus un secret, c’était que t’étais une enfant non désirée, de base. C’était des conversations que t’étais pas censée entendre, bien évidemment. Des reproches de ton grand-père (pourtant aimant en apparence) adressés à ta mère. T’as gâché ta vie, qu’il a un jour craché dans un filipino furieux. Tu l’as entendu au travers du téléphone, t’as vu le visage de ta mère se décomposer en une grimace que t’as jamais vraiment su décrire. Ses traits tirés et son regard empli de larmes sont restés ancrer dans ta mémoire. Encore aujourd’hui, tu te souviens très exactement de son expression lors de cet appel. Et depuis ce jour, tu t’es toujours demandée si ton grand-père avait raison. Si ta mère avait vraiment gâché sa vie en te mettant au monde. Ça t’a foutu (et ça te fout toujours) un sacré coup. (✽) Et tu t’es calmée en grandissant. C’est pas tant que t’as eu marre de te battre. C’est pas tant que tu avais peur que ton grand-père avait raison. Tu t’es juste levée un jour et t’avais plus cette colère. T’étais juste lasse, tu t’es demandée « à quoi bon ? » en pensant à toutes ses années passées à casser des nez et des dents. Tes poings sont jamais parvenus à faire taire les rageux, ils avaient toujours quelque chose à redire. Que ce soit l’absence de ton paternel ou tes exploits académiques plus que médiocres, rien n’allait jamais. T’as ouvert les yeux et à quoi bon ? Tu perdais ton temps à te battre avec ces merdeux qui changeraient jamais d’avis. Alors, comme du jour au lendemain, t’as décidé d’arrêter. T’as décidé que t’avais mieux à faire et que tant pis pour eux. T’avais pas besoin d’eux pour vivre ta p’tite vie. (✽) C’est au jeune âge de onze ans que t’as commencé à parler dans le vide. Ou tout du moins ce qui semblait être le vide, parce que toi tu savais que tu parlais à quelqu’un, mais le reste du monde l’ignorait. Tu voyais ces figures décharnées, ces corps brisés et bien trop souvent sanguignolants se présenter à toi, venir te chercher dans ta chambre alors que tu t’apprêtais à dormir. Un bien triste spectacle pour la gamine que t’étais. Au départ, ça te faisait hurler de terreur et ta pauvre mère comprenait pas. Elle essayait, mais elle comprenait pas … T’as jamais su dire, jamais su décrire ce que tu voyais et entendais, t’as jamais su mettre des mots sur l’angoisse que tu pouvais ressentir à cette période. (✽) Ta relation avec tes grand-parents avait toujours été un peu chaotique. Y avait, entre vous, cette idée d’amour au conditionnel qui te pesait bien plus que ce que tu avais bien pu le dire à l’époque. Y avait cette idée que t’étais pas vraiment désirée, mais que maintenant que t’étais là, ils avaient pas tellement d’autres choix que de t’accepter. Y avait aussi cette idée qu’ils faisaient un peu ce qu’ils voulaient de ta mère, lui promettant toute l’aide dont elle pouvait avoir besoin si, et seulement si. Enfant turbulente et pleine de rancoeur, tu leur en avais voulu pendant un bon bout de temps. Puis, comme tout le reste, t’avais fini par t’en détacher. T’avais, soudainement, plus le temps pour la rancoeur et leurs jeux stupides. D’une manière un peu étrange, t’avais continué de les aimer un peu ; parce qu’ils ne te disaient jamais rien ouvertement, parce qu’ils avaient ce côté bizarrement tendre quand t’étais avec eux. Mais t’avais vu l’envers du décor, Ava, aussi t’étais prudente. Quand ton grand-père est mort, t’as remarqué que ta mère passait beaucoup moins de temps à pleurer. Quand ta grand-mère est morte, t’as remarqué que ta mère souriait bien plus souvent. Tu l’as jamais avoué, mais ça été un soulagement. T’en as un peu honte, de percevoir leurs décès de la sorte, mais les choses sont ce qu’elles sont. (✽) Tes grand-parents sont morts, ça aurait dû être la fin de l’histoire. Sauf que. Sauf que … Ton grand-père, même mort, a jamais vraiment voulu lâcher l’affaire, à jamais vraiment voulu foutre la paix à celle qu’il n’avait de cesse de considérer comme un terrible fardeau. Ça a duré des mois, pas loin de deux ans. Tout ce temps pendant lequel il n’a jamais arrêté de souligner tes mauvais choix, affirmant que tu n’étais qu’une gamine écervelée qui ne parviendrait jamais à rien avec sa vie. T’en as jamais rien dit à ta mère, parce que tu voulais pas la rendre triste, tu voulais pas l’inquiéter. Alors t’as rien dit, t’as encaissé comme tu le pouvais à l’époque. Et si t’avais l’air un peu plus triste que d’habitude, personne a jamais rien fait remarquer. Peut-être qu’elle s’est jamais doutée de rien, ta mère. (✽) C’est à l’adolescence que t’as commencé les vraies conneries, celles qu’on peut pas balayer sous le tapis. Déjà, t’as fait irruption à la Colonie de Sang-Mêlé dans un grand fracas, trébuchant aux frontières de celle-ci et t’effondrant aux pieds de tes compagnons d’infortune. T’avais bien remarqué que y avaient des trucs un peu bizarres qui se passaient autour de toi, outre le fait que tu parlais souvent seule (bien que tu clamais ne pas l’être vraiment) que ta mère était beaucoup plus inquiète que les autres mères. Elle a bien essayé de t’expliquer, mais avant qu’un satyre ne t’attrape par le col de ton t-shirt trop grand et te tire jusqu’à la Colonie … Bah tu l’avais pas vraiment crue, sorry mother. Puis tout s’est enchaîné très vite ; ton père qui te revendiquait (enfin), la méfiance des autres, les regards de travers … T’as arrêté de te battre, Ava, mais ça veut pas dire que t’as tout arrêté. T’as enchainé les conneries aussi vite que tu l’as pu, laissant ta mère derrière toi à mordre la poussière. Au départ, tu étais censée à la Colonie uniquement, puis il a été rapidement décidé que tu y resterais à l’année, ne rentrant que pour les vacances. Ça y est, t’avais enfin poussé ta mère à bout. (✽) Même à la Colonie, t’étais la fille bizarre qu’on aimait pas trop. Le fait que tu parlais seule (ça te faisait toujours grincer des dents, quand on décrivait la chose comme ça), ça en effrayant plus d’un. Puis t’en es venue à la bien sombre réalisation que tu parlais aux morts. Tu t’en doutais depuis quelques temps déjà, mais c’est à la Colonie que tu as confirmé la chose. Et là, t’es devenue encore plus bizarre aux yeux de tous. Tu préférais encore quand tout le monde pensait que tu parlais seule. (✽) T’avais seize ans et y avait tout un tas de trucs qui se passaient autour de toi. Déjà, tu appris que tu avais un petit frère ; Kieran. Ça t’importait pas tant que ça que vous ayiez pas la même mère, ça t’importait pas tant que ça que vous ayiez pas grandis ensemble. Ce qui t’importait, en revanche, c’était qu’il était là et que tu étais là aussi. Dans le même temps, tu étais aussi tombée amoureuse, de la fille la plus belle que tu avais jamais vu. Rien de surprenant en soit, Valentine était une digne fille d’Aphrodite. Elle t’a brisée le coeur, comme l’avait prédit Kieran. Premier amour adolescent, que tu avais eu du mal à digérer, mais dont tu t’es remise sans trop de mal. (✽) T’en avais ta claque de cette sale réputation que tu te tirais à la Colonie, t’en avais ta claque d’être cette fille qu’on regard toujours un peu de travers. Alors, t’as fait ton sac et t’es partie. T’avais à peine vingt-et-un ans, mais tu savais que t’avais envie de plus que ça, que la Colonie ne t’apporterait certainement pas tout ce que tu voulais. Alors t’es partie dans le coeur de New-York, t’as renoué (un peu) avec ta mère et tu l’as rencontré lui. Sur le papier, il était parfait. Dans les faits, c’était une sacrée pourriture. T’en avais jamais parlé à personne, à part Kieran (avec qui tu gardais ouverte une communication en pointillé). Personne ne savait vraiment, à part lui, le calvaire qu’il t’avait fait vivre pendant presque deux ans. Et c’était bien grâce à eux que tu avais trouvé le courage de t’en sortir ; les insultes quotidiennes et les tentatives de manipulation n’étaient plus suffisantes pour te garder docile et silencieuse. T’es partie en criant ta colère, en cassant la vaisselle et avec un petit sac d’affaires sous le bras. T’es revenue à la Colonie, le myocarde palpitant follement et le visage encore empourpré d’une colère que t’avais du mal à contenir. T’es revenue à la Colonie, épaulée par ton frère. Depuis, t’es devenue plus méfiante en amour. T’as jamais retrouvé cette flamme légendaire, t’as jamais vraiment eu le courage de faire le grand saut à nouveau. (✽) Il t’a fallu du temps, pour savoir ce que tu voulais faire à la Colonie. T’avais plus vraiment envie de partir, ton expérience calmant considérablement tes ardeurs. Au final, t’es juste devenue conseillère ; tu comprenais bien les âmes perdues, après tout, ça te dérangeait pas de les écouter. Puis tu trouvais une certaine satisfaction à aiguiller ces adolescents et ces jeunes adultes paumés, t’aimais bien les voir réussir après avoir suivi tes conseils. C’était plaisant. Tu t’es laissée avoir par le train train ennuyeux du quotidien, tu t’es laissée avoir par les habitudes et tout le reste. Et si t’as toujours de bons conseils, t’as plus la flamme qui t’anime. Faut croire qu’elle s’était éteinte y a un petit bout de temps aussi. (✽) Et puis il a fallut partir ; la Colonie était plus aussi sûre que ça, pas quand on connaissait le danger qui rôdait à l’horizon. T’as rien dit quand la nouvelle est tombée, t’as juste prévenue ta mère en coup de vent que tu partais en Europe. Elle a rien dit non plus, elle t’a souhaité un bon voyage et t’a fait promettre de lui donner des nouvelles régulièrement. T’as promis et t’es partie sans un regard par-dessus ton épaule. Peut-être que ce changement d’environnement te serait salutaire, peut-être que ça te ferait du bien de voir quelque chose de nouveau … ça a duré un temps, puis tu as recommencé à t’ennuyer de tout. Sauf que maintenant, t’es conseillère, Ava. Ça veut dire que t’as des responsabilité, ça veut dire que tu dois faire attention à ces conseils que tu prodigues de ta voix douce. T’as peur, des fois, qu’on te prenne pas au sérieux ou qu’on te tienne rigueur de tes affres d’adolescente. T’as peur de faire les mauvais choix, aussi. C’est fou ce que ça pèse, d’avoir tant de responsabilités.

en vrac; Ton premier tatouage remonte à tes seize ans ; t’avais échappé à la surveillance de ta mère pendant quelques heures et t’as trouvé le moyen de te faire tatouer tu te souviens plus trop comment. Tu sais juste que ta mère a passé des heures à te gronder et que t’as plus pu quitter le domicile familial pendant deux semaines suite à ça. Toujours est-il que ça t’a plus et que t’as continué à collectionner les œuvres d’art sur ton épiderme. À ça s’ajoute un goût très prononcé pour les piercings. T’as l’air d’une totale bad girl, mais t’en as rien à foutre de ce que les autres pensent ; toi, tu t’aimes bien comme ça, parée d’encres et de bijoux. C’est un peu ton armure.  (✽) Tu fumes depuis que t’es ado, aussi. Au début, c’était juste pour avoir l’air cool, pour faire comme les cool kids que tu voyais à la télé. Depuis, c’est devenu une véritable addiction. T’essaie de réduire, tu fais de ton mieux pour t’en passer … mais tes efforts donnent pas grand-chose. Si t’as pas un paquet de clopes dans la poche, t’es pas totalement à l’aise. (✽) T’as essayé les drogues, quand t’étais plus jeune. Mais t’as tellement bien fait les choses, tu t’en es rendue terriblement malade. Ça t’a bien dégoûtée. (✽) T’es pas en mauvais terme avec ta mère, mais t’es pas vraiment en bon terme non plus. Tu lui en as fait voir de toutes les couleurs et tu t’es jamais vraiment excusée (t’as jamais su trop comment), puis t’as toujours cette sale impression d’avoir été un fardeau qu’elle devait porter seule. Y a trop de non-dits entre vous et tu sais pas comment réparer les choses qui se sont brisées (que t’as fracassé)  entre vous. (✽) Tu parles toujours avec tes (enfin, tes … on se comprend) morts. Ça t’a jamais vraiment quitté, cette sale manie de blablater avec les défunts. Tu sais pas trop pourquoi tu te fatigues à le faire, surtout qu’on te regarde toujours de travers quand tu le fais en public. Du coup, t’essaies de le faire quand t’es seule dans ta chambre, quand y a personne pour te juger sur tes mauvaises habitudes. Ça empêche pas les fantômes de te parler comme ils le veulent, de te donner leurs avis sur après tout ce qui t’entoure. C’est juste que t’évites de leur répondre quand t’es entourée de vivants. Déjà que y en a pas mal qui râlent du fait que tu sois conseillère, parce qu’ils pensent que ça tourne pas rond chez toi … tu voudrais pas leur donner encore plus de grain à moudre.

pseudo gabi, comme d'hab - age 26 ans, la vieillesse, les enfants  - pronom irl elle/iel + she/them - comment es-tu arrivé-e sur VOTG ? cute  - autre chose ? que du love - credits icones trouvées sur tumblr, merci à HOODWINK pour l’avatar.

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Bonne rédac' :whaou: :heart2:
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Bonne rédac bb emo
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merci les baes :whaou: :heart2:
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